Sur la route du Pinacle [PV : Sara von Carstein]

Messages : 9 Date d'inscription : 16/10/2010

Huit heures. Huit heures qu’elles avaient quittée Mexico.
Elles roulaient maintenant. Et à tombeau ouvert, qui plus est.
Isabella avait cependant une parfaite confiance dans ses capacités. Elle avait eut beau rester dans l’ombre de Vlad toutes ses années, elle n’était pas resté avec lui durant tout ce temps. Elle avait mises à profits ses années où elle avait laissé son mari à ses affaires pour s’habituer aux nouvelles technologies. La conduite en faisait parti.
Au volant d’une Ferrari 458 Italia noire, elle roulait très vite. Elle devait atteindre le Pinacle d’Argent le plus vite possible.
Sur l’autre siège se trouvait une jeune femme aux cheveux marron, et à la beauté égale à tout vampire.
Sara von Carstein. C’était son nom. Isabella l’avait déjà rencontrée, et avait une immense dette envers elle.
Ce n’était cependant pas pour cela qu’Isabella roulait vite, mais par qu’elle voulait protéger sa famille.
Elle aussi avait souffert de la trahison de ses frères, mais elle ne s’en était pas tenue responsable, comme Vlad l’avait fait. Isabella savait cependant que cela serait différent avec Sara. Elle n’en doutait point.
Mais c’était Vlad qui l’inquiétait. Lui d’habitude si confiant avait l’air de ne pas savoir s’il allait s’en sortir ou non, et cela présageait du pire.
Isabella roulait vite pour atteindre le Pinacle. Vlad leur avait dit d’aller là-bas, alors elle y emmènerait leur nouvelle fille.
C’est en se faisant cette réflexion qu’Isabella se rendit compte qu’elle n’avait pas parlé depuis qu’elle avait retrouvé Sara et qu’elle avait commencé à l’éloigner de Mexico. Comment avait-elle put se laisser distraire comme cela ?
Fixant toujours la route, qui devenait sinueuse à mesure qu’elle s’avançait dans l’arrière pays français, elle adressa la parole à Sara.
- Désoler de n’avoir dit mot jusqu’ici, mais je suis inquiète.
Isabella se mordit la lèvre. Sara aussi devait être inquiète. Peut-être qu’elle aussi donnait déjà une issue tragique à l’affrontement qui se déroulait loin de là.
Isabella secoua la tête, refusant de laisser des élucubrations prendre possession de son esprit.
- Je suis… heureuse, de te savoir parmi nous. Vlad n’avait plus accordé sa confiance depuis la trahison de Mannfred. Tu es l’espoir qui manquait aux von Carstein. Au fait, je peux te tutoyer ?
Après une courte pause, attendant la réponse de Sara, Isabella reprit :
- Comment vous-êtes vous rencontré, avec Vlad ?

Cela faisait huit heures qu'elles étaient parties de Mexico et Sara se faisait du sang d'encre a penser dans quelle situation Vlad se mettait. Elle s'était assise sur le siège passager aux côtés d'Isabella. Sara ne pouvait rien faire d'autre que de se tordre les mains pendant que la peur lui nouait le ventre... Elle respirait normalement et sur son visage, rien ne montrait qu'elle était effrayée de tout cela. Mais si quelqu'un aurait été assez intelligent et l'aurait regarder dans les yeux, il aurait vu qu'elle était très inquiète. Isabella devait partager sa crainte mais elle ne disait rien. Mais finalement, elle dut s'en rendre compte car elle dit:

- Désoler de n’avoir dit mot jusqu’ici, mais je suis inquiète.

L'autre secoua la tête et lui dit:

- Je suis… heureuse, de te savoir parmi nous. Vlad n’avait plus accordé sa confiance depuis la trahison de Mannfred. Tu es l’espoir qui manquait aux von Carstein. Au fait, je peux te tutoyer ?

- Oui a votre aise...

Un petit silence se fit mais Isabella le brisa encore en disant:

- Comment vous-êtes vous rencontré, avec Vlad ?

Sara se remémora sa rencontre et essaya de lui faire une histoire brève...

- J'était venue a Mexico pour annoncer de la part de mes parents, des nouvelles a leurs amis mais lorsque je suis arrivée, un groupe de vampires m'a intercepter... Ils m'ont séquestrés trois jours et ils m'ont torturés... J'ai réussis a me sauvée et quatre vampires m'ont suivit. Je les ai tués mais Vlad avait l'apparence d'un chat puis finalement il a pris la mienne, je me suis sauvée, j'ai recréer une scène avec l'eau mais il l'a vue. Il m'a ensuite aider a me venger de mes ennemis et je crois que pour la suite, vous vous en rappelez...

HJ: Désolée pour toute cette attente... Mes parents ne voulaient pas me donner l'ordi.

Messages : 9 Date d'inscription : 16/10/2010

Sara raconta une histoire assez alambiquée, laissant à Isabella le soin de faire concorder les évènements à se qu’elle avait elle-même vue. La fin était cependant la même que celle qu’Isabella connaissait : Vlad avait intégrée Sara aux von Carstein, et elle l’avait retrouvée elle, Isabella von Carstein. Cependant, les retrouvailles avaient été de courtes durées, puisque Vlad était chassé et qu’il ne voulait pas impliquer sa famille.
Et elles fuyaient, enfin, dans un certain sens, vers le Pinacle d’Argent.
- Si je te tutoie, ais l’obligeance d’en faire autant, s’il te plaît.
Isabella continuait à rouler vite, poussant sa voiture dans ses dernières limites.
Les routes devenaient sinueuses à mesure qu’elles s’approchaient des montagnes.
Isabella se demanda se qu’il était devenu des autres membres du Pinacle. La situation avait-elle beaucoup changée depuis la dernière fois qu’Isabella y avait mit les pieds ?
Cette réflexion en éveilla une autre dans l’esprit d’Isabella.
- Que sais-tu des von Carstein, Sara ? Et du Pinacle d’Argent ?
Vlad avait-il prit le temps d’expliquer à Sara d’où il venait, où même qui il était ?
Isabella n’en savait rien, et dût attendre la réponse de Sara.

Hors Jeu:

- Si je te tutoie, ais l’obligeance d’en faire autant, s’il te plaît.

Sara hocha la tête et regarda le tableau de bord ou les aiguilles montaient en flèche. Les routes devenaient sinueuses car nous approchions des montagnes. Sara sursauta un peu lorsque Isabella lui demanda:

- Que sais-tu des von Carstein, Sara ? Et du Pinacle d’Argent ?

Elle pris le temps de formuler toutes ses idées et de retrouver tout les souvenirs de Vlad lorsqu'il lui en parlait et dit:

-En résumé,Je sais qu’un jour, Vlad vous a épousé et sauvé de la mort… Vous avez transformés d’autres nobles avec vous pour faire la famille von Carstein je crois… Ils étaient tous indépendants et selon ce que Vlad m’a dit, il y en a un qui a presque réussit a l’assassiner mais n’a pas réussit de peu. Après, lorsqu’il se reconstituait, la famille s’est entretuée si j’ai bien compris. Celui qui a crut tuer Vlad en avait manipuler un autre mais n’a pas réussit puisque vous êtes avec moi en ce moment..

Sara reposa son regard sur la route et attedit d’autres éventuelles questions.. Elle aussi voulait connaître cette Isabella comme elle avait réussit a connaître Vlad. Celui-ci, était presque un père pour elle ! Elle se grugea les ongles, geste qui traissait son inquiétude...

Messages : 9 Date d'inscription : 16/10/2010

Isabella eut un sourire gêné à l’évocation de la fin de sa précédente vie. Elle avait toujours en cette maladie qui aurait dût l’emporter le signe que son don devait aider les autres. Quand au recrutement de la petite noblesse de son duché, quel erreur ! Avec le recul, la trahison de Mannfred restait mystérieuse, mais absolument inévitable. Quand bien même il ne l’aurait pas fait, un autre des von Carstein s’en serait chargé. Isabella avait jamais été la seule véritablement loyale à Vlad.
Isabella expliqua à Sara que la façon dont Mannfred avait réussit à piéger Vlad restait pour l’heure inconnue, mais que Vlad avait été démembré puis bruler. Comment il y avait survécut, lui seul devait le savoir.
A son assassinat, Isabella répondit :
- Mannfred avait utilisé Pietr et sa nécromancie pour me vaincre. Ses zombis, si on peut appeler ainsi les cadavres qu’il contrôlait, m’ont dévoré. Il ne me restait qu’un seul bras lorsque, se croyant vainqueur, Mannfred à tué Pietr. Les morts s’effondrèrent sur moi quant leur maître mourut. Grâce à mon don, j’ai put me guérir, et se faisant, j’ai modifié mon ADN et me suis déphasée pour la première fois. Lorsque Mannfred a contemplé le tas de morts, il a dût supposer que les zombis m’avaient entièrement dévorée. Il m’a fallu prêt de quatre ans avant de pouvoir reprendre forme humaine. Et toi, quel don as-tu ? Vlad ne se serait probablement pas intéressé à toi si tu n’avais pas possédé un potentiel.

Elle lui expliqua quelques choses qu'elle devrait savoir sur la famille et finit en disant:

- Mannfred avait utilisé Pietr et sa nécromancie pour me vaincre. Ses zombis, si on peut appeler ainsi les cadavres qu’il contrôlait, m’ont dévoré. Il ne me restait qu’un seul bras lorsque, se croyant vainqueur, Mannfred à tué Pietr. Les morts s’effondrèrent sur moi quant leur maître mourut. Grâce à mon don, j’ai put me guérir, et se faisant, j’ai modifié mon ADN et me suis déphasée pour la première fois. Lorsque Mannfred a contemplé le tas de morts, il a dût supposer que les zombis m’avaient entièrement dévorée. Il m’a fallu prêt de quatre ans avant de pouvoir reprendre forme humaine. Et toi, quel don as-tu ? Vlad ne se serait probablement pas intéressé à toi si tu n’avais pas possédé un potentiel.

Sara hocha la tête et dit lentement:

- Effectivement... J'ai la maîtrise de l'eau... vous savez, l'hydrokinésie.

Pour appuyer ses propos, Sara fit apparaître de l'eau et la fit prendre des formes différentes et belles a la fois. Puis brusquement l'eau disparu.
Elle attendait qu'elles arrivent mais une migraine lui martelait le crâne. Elle s'accrocha a la portière et de l'autre main, se tint la tête. Elle luttait contre la souffrance.

- Ma tête, gémit-elle...

Isabella se tourna vers elle mais sa vision brouillée lui empêcha de voir le visage de celle-ci.

Messages : 9 Date d'inscription : 16/10/2010

Sara fit une démonstration de son don, transformant une boule d’eau en différentes formes artistiques.
Isabella admira un instant le liquide, avant de reporter son attention sur la route.
Elle osait à peine imaginer ce que pouvait être les limites de ce pouvoir. Quels ravages Sara pouvait-elle causer ? Un Tsunami ?
Isabella conclu que puisque Sara ne désirait ni le mal ni la destruction, il n’était pas nécessaire de le savoir. La von Carstein faisait confiance à l’autre von Carstein pour faire bon usage de son don.
Soudain, la voix de Sara, qui s’accrochait à présent à la portière et se tenait la tête, retenti.
- Ma tête…
Isabella se tourna immédiatement vers Sara, une lueur inquiète dans le regard.
Elle resta un instant, infime, à regarder Sara. Les vampires n’étaient pas aussi fragiles que les humains : ils étaient immunisés aux maladies, au temps et aux blessures légères. Quel pouvait être la raison de la douleur de Sara. Isabella ne prit pas la liberté de laisser cette gène empirer, et, lâchant le volant de sa main droite, plongea son index et son majeur dans le crâne de Sara. Les doits s’y enfoncèrent comme dans de l’argile, cependant, cela était totalement indolore. Isabella enclencha son pouvoir, et, puisant dans sa propre force vitale, guérit la douleur de Sara. Elle retira ensuite ses doigts de la tête de Sara pour retourner à la conduite. Cela n’avait été qu’une petite guérison, aussi Isabella n’avait guère été fatiguée. Elle crut quand même bon de rassurer Sara.
- Ne t’en fais pas, tu n’auras pas d’effets secondaires. Ceci n’arrivent que lorsque j’utilise trop de ma force vitale pour guérir et que je perds conscience. Quand à ta douleur, quelque en soit la source, elle est guérie. Sa va mieux ?

Tout se passa vite et la douleur disparue rapidement sans qu'elle sache ce qu'Isabella avait faite... Elle n'avait rien vu mais se sentait fraîche et dispo. Elle se sentait mal d'avoir fait perdre de l'énergie a la femme qui était a ses côtés... Mais comme si celle-ci avait lu dans ses pensée, elle lui dit:

- Ne t’en fais pas, tu n’auras pas d’effets secondaires. Ceci n’arrivent que lorsque j’utilise trop de ma force vitale pour guérir et que je perds conscience. Quand à ta douleur, quelque en soit la source, elle est guérie. Sa va mieux ?

Sara hocha la tête, désappointée et étrangement silencieuse...
Elle pensait a ses parents et se demandait si Isabella avait vécu quelque chose de difficile comme ça. Elle lui demanda donc, un peu gênée:

- Isabella... Comment on été tes parents dans ta vie? Était-ils présents ou toujours occupés a ne pas s'occuper de toi ou autre choses?

Elle repensait a ses parents souvent et a la façon qu'ils lui avaient obligée a faires des études en affaires et tout le tralala...

Messages : 9 Date d'inscription : 16/10/2010

Sara semblait assez déboussolée après l’intervention d’Isabella. Quelque chose lui préoccupait l’esprit. Isabella ne l’interrogea pas sur la cause du silence de l’autre von Carstein, jugeant que si Sara voulait se confier, elle le ferait. Isabella n’avait pas à lui forcer la main.
Au bout d’un cours moment, Sara, bien qu’un peu gênée, lui demanda :
- Isabella... Comment on été tes parents dans ta vie? Étaient-ils présents ou toujours occupés à ne pas s'occuper de toi ou autre choses?
Isabella laissa échapper un sourire gêné elle aussi, avant de répondre.
- J’ai grandi à une époque différente de toi, le fait que je n’étais pas proche de mes parents était la norme à l’époque. Je n’ai jamais eut de liens particuliers avec eux, car moins d’un enfant sur trois arrivait à maturité. Ma mère n’est pas morte en couche, comme la plupart des femmes de ce temps, mais elle m’en a toujours voulue pour les douleurs qu’elle avait subies. Toutes les choses de j’ai apprise, c’était auprès de précepteur. J’étais un peu plus proche de mon père, qui, bien que je sois du « sexe faible », avait ordonné que l’on m’élève comme un héritier male. En bref, à mon époque, se qui se rapprochait le plus du rôle des parents d’aujourd’hui, se sont les nourrices. Isabella tourna brièvement son regard tendre vers Sara, avant de continuer : Si tu me demande cela, c’est que tu as eut des problèmes avec les tiens. Veux-tu en parler ?

- J’ai grandi à une époque différente de toi, le fait que je n’étais pas proche de mes parents était la norme à l’époque. Je n’ai jamais eut de liens particuliers avec eux, car moins d’un enfant sur trois arrivait à maturité. Ma mère n’est pas morte en couche, comme la plupart des femmes de ce temps, mais elle m’en a toujours voulue pour les douleurs qu’elle avait subies. Toutes les choses de j’ai apprise, c’était auprès de précepteur. J’étais un peu plus proche de mon père, qui, bien que je sois du « sexe faible », avait ordonné que l’on m’élève comme un héritier male. En bref, à mon époque, se qui se rapprochait le plus du rôle des parents d’aujourd’hui, se sont les nourrices.

Elle se tourna et regarda la jeune fille puis continua:

-Si tu me demande cela, c’est que tu as eut des problèmes avec les tiens. Veux-tu en parler ?

En y réfléchissant, elle se disait qu'elle ne voulait pas embarrassée l'autre von Carstein avec cela pour le moment donc elle lui en parlerait plus tard.

- Non... Pas maintenant. Tout a l'heure peut-être ou dans un temps libre.

Elle commençait a trouver la route longue donc elle demanda simplement comme une petite enfant:

- Quand allons nous arriver?

Messages : 9 Date d'inscription : 16/10/2010

Sara ne souhaitait pas parler de son passé, et Isabella n’insista pas.
Elle ne put étouffer un rire lorsque Sara lui demanda :
- Quand allons-nous arriver?
- Quel âge as-tu ?
Isabella était très amusée, et souriait. Après quelques secondes, elle répondit :
- Je ne suis jamais allée au Pinacle par la route. Il n’y en avait pas la dernière fois que je m’y suis rendue. A mon avis, il nous reste deux ou trois heures avant d’atteindre le chemin de traverse. Si tu veux, je peux accélérer.
Pour démontrer que sa 458 en avait encore sous le moteur, Isabella pressa l’accélérateur. Alors que la voiture gagnait en vitesse, le conteur dépassa les 200km/h, bien qu’elle fût obligée de ralentir à environ 150km/k pour passer dans les virages. Dieu soit béni qu’il n’y eut pas d’autres voitures sur ces routes. Isabella conduisait comme une pilote de F1, mais elle devait cette réussite à ses sens vampiriques, et non a ses talents de conductrice. Cependant, sa vitesse augmenta la consommation de carburant, et elle fut bientôt à court. Elle du s’arrêter dans une station service à la sortie d’une petite ville.
Il faisait nuit noire, et seule les pompes à cartes bancaires fonctionnaient.
Isabella se mordit la lèvre.
- Je n’ai pas de quoi payer.

- Je ne suis jamais allée au Pinacle par la route. Il n’y en avait pas la dernière fois que je m’y suis rendue. A mon avis, il nous reste deux ou trois heures avant d’atteindre le chemin de traverse. Si tu veux, je peux accélérer, dit-elle.

Cela finit par décourager Sara qui était lasse. Elle avait soif et ne pouvait tolérer mais elle attendit patiemment. Lorsque l'on roule plus vite, on prend plus d'essence donc bientôt elles durent faire le plein. Isabella descendit et dit:

- Je n’ai pas de quoi payer.

Sara sortit de la voiture et pris sa carte dans son sac a main et la donna a Isabella. Celle-ci s'apprêtait a refuser lorsque Sara lui coupa la parole en disant:

- C'est tout a fait normal que je fasse cela pour un membre de la famille. Ne me remercie pas.

Elle sourit et rentra dans la voiture pour attendre Isabella. Sara repris sa carte et la remis dans son sac puis en sortit son portable qui sonnait. Elle venait de recevoir un message texte. Elle le lu et sourit. Son cousin venait de lui dire qu'il avait rencontré une fille. Isabella se demandait ce que ça pouvait être comme nouvelle. Sara dit:

- Mon cousin est amoureux.